
Après la splendide fête de la musique de l’an 2000, rétropédalage dans le temps : nous sommes maintenant en 1925 .
Bonne lecture… la suite arrive ! Pour ceux qui prendraient en cours de route, la première partie du feuilleton est dans l’article précédent . Faut suivre, je sais, je sais ! Mais c’est pour votre bien : on ne lit pas assez !
Adichats
Edmond Maurel : Etrange et prenant. Suspens donc attente des prochains chapitres pour connaître le dénouement d’un conte riche de thèmes. J’aime bien.
J’ai un peu de mal à comprendre la langue des ogres et je reste longtemps sur leurs répliques avant d’avoir un éclairage mais il est vrai qu’à 82 ans mes neurones ne sont plus très agiles.
Peu habitué à la lecture sur écran et fidèle du papier, je serai acheteur du volume quand il sera publié
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Merci Edmond ! Pour le langage des ogres, on doit arriver à saisir le sens dans le contexte, sans connaître les mots. C’est ce que j’ai essayé de faire mais, pas toujours facile. C’est juste pour le plaisir d’écrire des mots qui sonnent !!
Pour la publication, c’est une autre histoire ! J’essaie !
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Ca avance, ca avance. .
Que de thèmes l’aventure, la poésie et l’étrange ont fait place à une fable sociale avec la présence de l’église qui choisit le camp des ogres…. Poursuivez maître André, je suis à l’écoute et comme vous , du côte du peuple. Mais peut-être est-ce une fausse piste et il y aura d’autres découvertes. Tant mieux.
Le langage des ogres est réduit dans ce chapitre , mais , il est est d’autant plus facile à comprendre qu’il est traduit (bonne idée). J’ai remarqué comme tu l’as dit que la sonorité de ces mots est agréable. Dans les prochains chapitres j’essaierai de les lire à haute voix et de m’en régaler bien que je ne sois pas musicien « pro » comme toi.
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